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Risques climatiques physiques et pratiques de souscription des actifs et des portefeuilles
Les données sur les risques physiques climatiques peuvent constituer un outil puissant pour gérer les risques et les rendements des actifs et des portefeuilles. Découvrez les stratégies utilisées par les grandes entreprises pour gérer les risques climatiques physiques et relever les défis du marché. Le dernier rapport de l'Urban Land Institute et de LaSalle Investment Management s'appuie sur leur rapport précédent, Comment choisir, utiliser et mieux comprendre l'analyse des risques climatiques, Pour décrire comment les grandes entreprises exploitent les données physiques sur les risques climatiques dans leurs pratiques de souscription. Alors qu’il devient de plus en plus facile d’obtenir un aperçu des risques au niveau des actifs et des portefeuilles, de nouveaux défis résident dans l’interprétation et l’intégration efficaces des informations dans les pratiques d’investissement. S'appuyant sur des recherches et des entretiens avec des leaders de l'industrie, ce rapport propose une exploration nuancée de cette question émergente.
Risques climatiques physiques et pratiques de souscription des actifs et des portefeuilles Est structuré en trois sections, chacune abordant différents aspects de la réponse de l'industrie aux données sur les risques climatiques :
Section 1. Explorez l'état actuel du secteur et découvrez que :
- Les grandes entreprises coachent activement leurs équipes sur les risques physiques.
- Les tendances réglementaires affectent, mais ne motivent pas l’évaluation des risques physiques.
- Différentes zones géographiques abordent le physique avec leur propre niveau d'urgence.
- Les gestionnaires de placements ont tendance à se concentrer sur le risque du fonds, et les fournisseurs de capitaux sur le risque du portefeuille.
- Les outils permettant de comprendre et d’évaluer le risque physique en sont encore à leurs balbutiements.
Section 2. Examine l'application des données climatiques dans la prise de décision. Les principales conclusions comprennent :
- Le risque physique global est un outil de dépistage ; le risque de danger individuel est une information exploitable.
- La valeur climatique en danger reste opaque ; l'utilité du numéro unique offre de la valeur mais nécessite une transparence accrue.
- Les risques atypiques (par exemple, inondation dans un désert) méritent une attention accrue.
- Les consultants externes peuvent souvent combler les déficits de compétences, en particulier pour les entreprises disposant de moins d’expertise en interne.
- Bien qu’aucun calendrier prédominant ni voie de concentration représentative (RCP) n’ait émergé comme norme de l’industrie, les références 2030 et 2050 étaient les horizons temporels les plus couramment référencés.
Section 3. Évaluer l'impact du risque climatique physique sur les pratiques d'acquisition, de souscription et de cession ; constatant que :
- Les grandes entreprises commencent par une évaluation descendante du risque physique.
- La concentration du risque physique sur le marché est analogue aux autres risques de concentration—une analyse nuancée est nécessaire.
- Les dépenses en capital pour les projections de résilience sont une prévision clé mais pleine d’incertitudes.
- Les mesures d’atténuation du changement climatique sur les marchés locaux sont importantes à comprendre mais difficiles à prévoir.
- La réduction du taux plafond de sortie pour le risque physique estimé est un outil de plus en plus couramment utilisé, souvent de 25 à 50 points de base.
- Les entreprises divulguent rarement les risques physiques, mais le marché a besoin d’une plus grande transparence.
Résumé du rapport : Les données sur les risques physiques climatiques peuvent constituer un outil puissant pour gérer les risques et les rendements des actifs et des portefeuilles. Découvrez les stratégies utilisées par les grandes entreprises pour gérer les risques climatiques physiques et relever les défis du marché. Le dernier rapport de l'Urban Land Institute et de LaSalle Investment Management s'appuie sur leur rapport précédent, Comment choisir, utiliser et mieux comprendre l'analyse des risques climatiques, Pour décrire comment les grandes entreprises exploitent les données physiques sur les risques climatiques dans leurs pratiques de souscription. Alors qu’il devient de plus en plus facile d’obtenir un aperçu des risques au niveau des actifs et des portefeuilles, de nouveaux défis résident dans l’interprétation et l’intégration efficaces des informations dans les pratiques d’investissement. S'appuyant sur des recherches et des entretiens avec des leaders de l'industrie, ce rapport propose une exploration nuancée de cette question émergente.
Risques climatiques physiques et pratiques de souscription des actifs et des portefeuilles Est structuré en trois sections, chacune abordant différents aspects de la réponse de l'industrie aux données sur les risques climatiques :
Section 1. Explorez l'état actuel du secteur et découvrez que :
- Les grandes entreprises coachent activement leurs équipes sur les risques physiques.
- Les tendances réglementaires affectent, mais ne motivent pas l’évaluation des risques physiques.
- Différentes zones géographiques abordent le physique avec leur propre niveau d'urgence.
- Les gestionnaires de placements ont tendance à se concentrer sur le risque du fonds, et les fournisseurs de capitaux sur le risque du portefeuille.
- Les outils permettant de comprendre et d’évaluer le risque physique en sont encore à leurs balbutiements.
Section 2. Examine l'application des données climatiques dans la prise de décision. Les principales conclusions comprennent :
- Le risque physique global est un outil de dépistage ; le risque de danger individuel est une information exploitable.
- La valeur climatique en danger reste opaque ; l'utilité du numéro unique offre de la valeur mais nécessite une transparence accrue.
- Les risques atypiques (par exemple, inondation dans un désert) méritent une attention accrue.
- Les consultants externes peuvent souvent combler les déficits de compétences, en particulier pour les entreprises disposant de moins d’expertise en interne.
- Bien qu’aucun calendrier prédominant ni voie de concentration représentative (RCP) n’ait émergé comme norme de l’industrie, les références 2030 et 2050 étaient les horizons temporels les plus couramment référencés.
Section 3. Évaluer l'impact du risque climatique physique sur les pratiques d'acquisition, de souscription et de cession ; constatant que :
- Les grandes entreprises commencent par une évaluation descendante du risque physique.
- La concentration du risque physique sur le marché est analogue aux autres risques de concentration—une analyse nuancée est nécessaire.
- Les dépenses en capital pour les projections de résilience sont une prévision clé mais pleine d’incertitudes.
- Les mesures d’atténuation du changement climatique sur les marchés locaux sont importantes à comprendre mais difficiles à prévoir.
- La réduction du taux plafond de sortie pour le risque physique estimé est un outil de plus en plus couramment utilisé, souvent de 25 à 50 points de base.
- Les entreprises divulguent rarement les risques physiques, mais le marché a besoin d’une plus grande transparence.